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Vivre et ne pas survivre.
Vivre est le propre de la nature,
Survivre c'est tenté de supporter sa nature.
Alors certains hommes n'ont jamais appris à vivre ? Parce qu'il faut apprendre à vivre me dit la petite voix ? En principe non , parce qu'il est question de principe dans la nature humaine et de la nature des choses qui font la nature humaine, cela est inée pour certains d'entre nous, mais pour d'autre le simple fait d'être en vie devient une épreuve existentielle de chaque jour. Pourquoi est-ce ainsi que certains hommes survivent ? Pourquoi est-ce ainsi que certains hommes souffrent ? Parce que certains savent intégrer la notion "d'acceptation" alors que d'autres non, tant sur la plan de l'individualisme , que de l'existentialisme. Certains personnes mettront un temps plus ou moins court ou plus ou moins long pour accepter l'échec d'un événement par exemple ou d'une situation. D'autres refuseront d'accepter que les choses sont. Le rejet s'appliquera alors non plus à l'évènement, mais également à la personne elle-même en tant qu'échec. La personne intégrera alors une notion d'incapacité d'accèder à ses désirs et donc, de ce fait, au bonheur existentiel dans sa globilité de vie et d'existence. Le rejet de la vie s'en suivra pour certains.
Comme le dit l'étude de Sartre : L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. L'être humain invente ses propes valeurs, c'est lui qui les détermine. C'est par sa conscience que l'être humain donne un sens à sa vie en créant ses valeurs. Parce qu'au départ l'être humain ne possède aucune identité, valeur. En posant des actes qui le constituent et rendent son existence signifiante.
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L'oeil humain (est fait) à l'image du monde et toutes les couleurs qui s'y trouvent sont disposées en cercles. Le blanc de l'oeil figure l'océan qui entoure le monde de toute part ; une autre couleur représente les terres que baigne l'océan ou qui s'étendent au milieu des eaux ; une autre couleur encore se situe dans la région centrale et c'est jérusalem qui est au centre du monde.
Mais la quatrième couleur, le joyau de tout l'oeil (...) , c'est Sion le pivot de toute chose, et c'est là que reflète le monde entier ; (Zohar).
A force de trop nous écarter de la nature des choses, citadins coupés de la terre et de ses racines, nous ne reconnaissons plus la grandeur de notre nature humaine.
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Des visages tout autour de moi me sont familiers
Des endroits usés, des visages épuisés
Lumineux et matinal pour leurs courses quotidiennes
N'allant nul part, N'allant nul part
leurs larmes remplissent leurs lunettes
Aucune expression, aucune d'expression
Cache ma tête je veux noyer mon chagrin
Aucun lendemain, aucun lendemain
Et je trouve ça un peu étrange, je trouve ça un peu triste que
tous les rêves dans lesquels je meurs
Sont les meilleurs que je n'ai jamais fait
Je trouve que c'est dur à te dire, je trouve ça dur à supporter
Quand les gens tournent en rond
C'est un monde de fou, un monde de fou
Agrandis ton monde, monde de fou
Les enfants attendent le jour où ils seront heureux
Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire
Fait pour sentir le chemin que chaque enfant devrait
Assis-toi et écoute, assis-toi et éocute
J'allais à lécole et j'étais très nerveux
Personne ne me connaissait, personne ne me connaissait
Bonjour maîtresse dites-moi quelle est ma leçon
Elle me regarde sans me voir - me regarde sans me voir
Et je trouve ça un peu étrange, je trouve ça un peu triste que
tous les rêves dans lesquels je meurs
Sont les meilleurs que je n'ai jamais fait
Je trouve que c'est dur à te dire, je trouve ça dur à supporter
Quand les gens tournent en rond
C'est un monde de fou, un monde de fou
Agrandis ton monde, monde de fouNous traversons l'ère du misanthrope social.
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Nous sommes ce que nous sommes devenus dans le monde de l'ignorance de notre propre valeur.
Sommes-nous prêt à avouer que nous jouons constamment sur l'apparence d'une identité vestimentaire ? Mais quel est le vrai visage de cette personne que je croise dans la rue ?
Quelles sont ses peurs ?
Ses doutes ?
Ses echecs et toutes les choses qu'elles préfèrent occulter de sa mémoire ?
Et bien tout simplement les mêmes que les miennes.
A ne jamais cesser être cet autre que soi. Est-ce cela l'humanité moderne ? Peut-on alors s'étonner d'être si entouré et pourtant si seul dans cette vaste humanité. Peut-on alors s'étonner que de si nombreuses personnes souffrent de vide existentiel ?
Nous ne croisons que les reflets de nos simples apparences.
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